Eh bien si, figurez-vous ! Melmac, cela veut dire quelque chose. Outre qu'il s'agit du nom d'une planète fictive sur laquelle les habitants sont des sortes de gros chiens patauds toujours en quête de chats pour se nourrir (qu'ils les mangent en pizza ou en lasagne), planète lointaine issue de l'imagination du créateur de la série télévisée "Alf", outre, donc, cette première approche drôlatique (mais pas tant que ça car, du coup, être un chat sur la planète Melmac, c'est aussi être dans l'obligation de résister à une doxa mortelle sous peine d'être mangé), on peut aussi envisager Melmac comme un sigle. Dont voici deux significations possible :
Maison d'Edition de Littératures à Marseille ; Association Culturelle. Vous suivez ?
Ou encore Modestes Elements de Littérature à Marseille ; Avec Coulomb. Coulomb (Patrick) étant le nom du fondateur. "Modestes" pouvant être remplacé à terme, si le succès suit, par "Merveilleux", "Magnifiques" ou "Mirobolants".
Merci de prendre cette notule avec tout le second degré nécessaire. Melmac vient de publier La femme qui mangeait des fleurs, de Guillaume Chèrel, publiera en novembre 2021 Julia, une île, d'Olivier Boura, et lancera en mai 2022 une collection "Marseille".
C'est dit.
The Melmac Cat