Voici (ci-dessus en tranches et en photo) ce que MELMAC vous a proposé depuis juin 2021.
Du polar avec La femme qui mangeait des fleurs de Guillaume Chérel et le recueil de nouvelles Le Cercle des polardeux marseillais (et de leurs complices), de la poésie avec le Surf de François Thomazeau, de la SF cosmique avec L'éveil du Philalèthe de Jérémie Morançon, de la socio et du foot avec 26 mai 1993 de Giovanni Privitera, une aventure historique, philosophique et politique avec Julia, une île, d'Olivier Boura, la dystopie de David Humbert Fuir et le pop roman psychédélique 1m976 de Gérald Wittock. Le cycle polar reprend au mois d'août avec La Source bleue (des sorcières de Gréasque) de Bruno Carpentier et se poursuivra en 2024 avec L'argent du sucre de Pierre Fiastre et sans doute la saison 2 du Cercle des Polardeux marseillais. L'imaginaire aura ses droits à l'automne 2023 avec Coureurs de nuages de Pierre Luciani puis en 2024 avec Blast de Jean-Marc Durand-Gorde et Ibomiran de Bernard Vitiello, Patrick Coulomb et Jacques Barbéri. La dystopie sera à nouveau présente avec Paris District Zéro de Jérémy Bouquin et les chroniques urbaines très rock'n'roll se déclineront avec Nous étions de jeunes punks innocents, de Paul Milhaud et une surprise très marseillaise. Quant à Marseille, justement, en novembre on découvrira le polar/roman d'aventure/récit épique/rappel historique de Jean-Pierre Cassely Marseille, 1423, on a volé les chaînes du port (2023 ils vont les récupérer).
Sans oublier au passage quelques sorties plus discrètes mais non moins intéressantes, notamment le surprenant Changer de vide, de Stéphane Menu et la Trilogie des bras cassés de Patrick Coulomb...
J'dis ça j'dis rien, beau programme non ?
The Melmac Cat