Le Cat a été bluffé récemment par un tigre. Normal, vous direz, quand on est chat, quoi de plus impressionnant qu'un tigre ? Quoi qu'il en soit, le Cat n'aurait pas détesté afficher à son catalogue le bouquin de Yannick Le Marec Constellation du tigre. C'est Arléa qui l'a, OK, Melmac s'incline. Mais c'est une des pistes que l'on souhaite développer, chez Melmac, ce que l'on appelle ici les "chroniques urbaines", des textes plutôt courts en un seul bloc ou vraiment courts, mais qui tissent une toile tout au long d'un bouquin.
Sinon toujours les romans noirs et les polars, bien sûr, et le Cat, qui ne lit pas que les manuscrits qu'on lui envoie, a lu avec beaucoup d'amusement La Dame au cabriolet, de Dominique Guiou et Thomas Morales (chez l'éditeur Serge Safran), un petit polar désuet et léger, écrit avec beaucoup de recul.
La SF et la fantasy font aussi partie des projets de la maison. Et, on y réfléchit sérieusement, une pointe de poésie.
Pour tout ça, il commence à y avoir des possibles, des textes en lectures, des rééditions. Si Sainte-Phynance lui prête vie, le Cat envisage aussi de rééditer des trucs en poche. Les projets fourmillent, pour l'instant c'est le temps qui manque. Et on verra pour les financements.
En attendant, La femme qui mangeait des fleurs débute bien sa carrière, médiatiquement du moins, et Julia, une île se profile à l'horizon de la rentrée.
A plus.
The Melmac Cat